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PRESSE

« Pierre Hantaï domine aujourd’hui son instrument mieux que personne. De son maître Gustav Leonhardt il a reçu l’art de poser lui-même les règles du jeu, en essayant tout ce que le clavecin permet, en combinant avec autant d’art que d’imagination tout ce qui peut agir sur l’auditeur. »
(Gaëtan Naulleau, pour le Diapason d’Or de l’année 2016)

« Hantaï shows what can be achieved by a virtuoso who commands perfect technical control and an emotional eloquence. The sublime result of artistic mastery »
(Lindsay Kemp, Gramophone Editor’s choice)

« Malgré sa renommée, j’ai l’impression que notre époque n’a pas pris la mesure de son génie d’interprète, à l’égal des plus grandes légendes dans l’histoire de son instrument. On pourrait en dire autant du chef d’ensemble, un de ses talents qu’il dévoile trop rarement. Je reviens constamment à ses Goldberg, qui sont pour moi une référence absolue. Comment ne pas être ébloui par tant d’intelligence et de culture assorties de tels moyens, où la palette infinie des couleurs, l’imagination inépuisable éclairent le texte avec une aussi formidable rigueur ? »
(François-Xavier Roth, Diapason, 2019)

« Avant il y avait Gustav Leonhardt, maintenant il y a Pierre Hantaï »
(Jordi Savall, Le Républicain Lorrain)

« Pierre Hantaï est époustouflant, sortant du carcan du concert moderne, communiant avec le public, présentant avec sensibilité chaque œuvre. Il le fait avec spontanéité et reste toujours passionnant, un poète du clavier jouant d’un nuancier digne d’un pianiste »
(Bruno Serrou, La Croix)

« …à ce degré d’inspiration la critique devient difficile ; les mots ne peuvent rendre compte des outils dont use l’interprète »
(Philippe Ramin, Diapason)

« ..Pierre Hantaï, phénoménal »
(Alexandre Tharaud)

« L’interprétation de Pierre Hantaï empoigne en souplesse, égratigne en douceur, mais touche au plus profond. Les qualités de Pierre Hantaï sont celles d’un artiste souverain, indépendant et imprévisible »
(Gilles Macassar, Télérama)

« Ce qui compte le plus tient à l’émotion. Au-delà de l’équilibre, la vérité. Loin de tout narcissisme, Hantaï vit Scarlatti plus qu’il ne l’interprète. Quel naturel !»
(Stéphan Vincent-Lancrin, Classica)

« …these pieces meet their match in harpsichordist Pierre Hantaï, who plays with the daring, sass and sheer sexiness that Alfred Cortot brought to Chopin »
(Scott Cantrell, Kansas City star)

« Quelle beauté ! Quelle puissance dans l’enthousiasme ! a-t-on jamais entendu Scarlatti joué avec un tel brio ? Hantaï ose tout, réussit tout, c’est étourdissant ! »
(Jacques Drillon, L’Obs)

« D’une si étroite intimité naît la liberté de laisser parler la musique, tout simplement. Pierre Hantaï possède au suprême degré l’art de faire chanter le clavecin, exploite toutes les ressources du phrasé, du toucher, de la registration, pour investir l’instrument d’une palette expressive à l’imagination sans cesse renouvelée »
(Piano Magazine)

« Il est des interprétations, rarissimes, qui d’emblée écartent tout souci comparatif. La vision Hantaï de ces œuvres est à proprement parler inouïe. Ici chaque phrase recèle mille beautés. L’élan est irrésistible de naturel, la virtuosité jamais ostentatoire, l’équilibre absolument parfait »
(Dominique Cospain, Le Monde de la Musique)

« … une explosion de couleurs et de parfums, autant qu’un voyage intérieur aux infinies modulations. Ceux qui ne connaissaient pas Pierre Hantaï vont être sidérés par la virtuosité digitale déployée, la sonorité superlativement orchestrale du clavecin, et resteront totalement sonnés par l’expérience. Hantaï habite Scarlatti, comme Bach : en poète, en savant engagé, en cheval fou et en maître zen »
(Eric Dahan, Libération)

« Ahurissement. Émerveillement permanent. Fulgurant d’insolence et de brio technique »
(Jacques Drillon, L’Obs)

« Dès les premières notes on est happé, soufflé, enlevé, rapté, emporté comme fétu de paille. Rien ne résiste au souffle de cette implosion musicale qui parcourt l’échine comme un séisme des grandes mutations géologiques. Hantaï est le Jimi Hendricks du clavecin »
(Marie-Aude Roux, Le Monde)

« Hantaï’s performances were a model of lucidity and honesty. The french Harpsichordist made his Toronto debut with a performance that gave us the Bach one always hopes to hear. Letting the music speak for itself, he brought out the play of stability and instability, order and chaos, darkness and light, convention and originality. A modest and philosophical virtuoso. »
(T.Bernstein, National Post, Toronto)

« Hantaï spielte so frei, so unmittelbar, als improviesere er. »
(Südwest Presse)

« On saluait l’an passé son CD Scarlatti, et Pierre Hantaï n’a depuis cessé d’éblouir. Ce premier livre du Clavier Bien Tempéré de Bach confirme les qualités du musicien français. Rarement mise à plat d’un monument n’aura été plus somptueusement expressive et colorée, libre et savante, lumineuse »
(Eric Dahan, Libération)

« Hantaï démontre à ceux qui l’ignoraient, remet en mémoire à ceux qui n’en croient pas leurs oreilles, ce que baroque veut dire : on va de surprise en surprise, cela fuse de toutes parts. Pierre Hantaï est le sublime artificier »
(Paul Meunier, Télérama)

« Enter Pierre Hantaï, a french virtuoso (..) this is the man who should be recording all of Bull’s keyboard music – and anything he wants, too ! Hantaï understands how to play polyphonic music. He articulates each individual line clearly and uses harpeggiation to create the further illusion of a number independant melodic lines all moving together »
(American Record Guide)

« Pierre Hantaï s’affirme de plus en plus comme un des artistes majeurs de sa génération »
(Alain Duault, L’Événement du Jeudi)

« C’est ludique, virevoltant, bondissant, d’une élasticité joyeuse, ça irradie le plaisir de faire de la musique, de jouer les uns avec / pour les autres. Oui, ici, c’est le grand tourbillon de la vie »
(Paul Meunier, Télérama)